Et vos recueils de poésie, ils sont où ?

Nous, le Tandem-Littéraire, étions en dédicace au Centre Leclerc de Saint-Louis et, une dame s’est arrêtée devant nos livres communs.

Je n’aime pas « agresser » les gens alors, je l’ai laissée regarder sans lui demander le style de livre qu’elle aimerait lire ; nous travaillons à deux le polar mais, nous écrivons aussi chacun de son côté dans des styles différents. 

La personne a pris un livre en main, a lu la 4^ème de couverture, l’a reposé, en a pris un autre, etc. A un certain moment, j’ai quand même voulu savoir et lui ai dit : 

- Vous cherchez peut-être quelque chose en particulier !? Comme vous avez pu le voir, nous avons « du vécu » avec ces mémoires d’Afrique, des nouvelles, du théâtre, des polars régionaux et même de l’humour avec « Dina de Dan ».

- Oui, me répond-elle, je cherche de la poésie. Avec un nom comme le vôtre, vous faites surement de la poésie ! 

- Effectivement, je fais aussi de la poésie mais, je n’ai pas été livré à temps pour cette dédicace mais, j’en aurai un beau sur la lune lors de la prochaine dédicace à Leclerc Altkirch début avril.

- Sur la lune ? me dit-elle, j’aimerais bien l’acheter mais, Altkirch, ça me fait trop loin. Vous revenez quand à Saint-Louis ?

- Ce sera pour début mai, pour le Forum du livre.

- Très bien, me dit-elle, alors, je reviendrai vous voir au Forum. Merci.

Et elle part en me laissant un joli sourire serein. 

Bien sûr, je ne sais pas si elle reviendra au Forum mais, elle m’a laissé une question qui se promène dans ma tête : « Ai-je un nom à faire de la poésie ? » Évidemment, j’ai écrit plusieurs recueils de poésie et qui, apparemment, ont même plu mais, est-ce grâce au nom… à faire de la poésie ? Mais, dans ce cas, pour les polars, je devrais prendre un pseudonyme ! 

Quoi qu’il en soit, bonne lecture. 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan et Dina,  Ecrire Pastel, Tandem Littéraire, Éric Valloni, gravillons, PeSA et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-vous plaisir, partagez !

Je viens chercher la suite...

Depuis que je fréquente les salons du livre, la phrase qui m’a le plus étonné est : « Je viens chercher la suite ! » comme si chaque livre nouveau était une suite au précédent... 

Pour certains livres, oui, c’est vrai. C’est comme pour les séries télévisées, il y a une suite, avec les mêmes héros ou personnages. Mais, pour les livres de poésie (car je fais aussi de la poésie) sur quel critère se baser pour dire qu’il y a une suite logique ? 

Dans « En Vert la Vie », je parle d’écologie et environnement. Dans « Tableaux », je parle de ce qui touche l’art. Dans « Douze », je parle de l’affectif, famille, parents et amis. 

Alors, qu’en penser ? 

Mais, nous vous avons entendus.

Pour ce qui est ne nos polars écrits à deux, les 3 premiers sont différents l’un de l’autre et c’est pourquoi le quatrième est centré sur un personnage « le capitaine Morgenspat » qui pourra apparaitre dans un livre à venir. Là, oui, on pourra parler de suite ; les aventures du capitaine Morgenspat commencent avec « Temps de Meurtres » et le sous-titre est évocateur : « Le capitaine Morgenspat et le double meurtre de Runzgraben-le-Haut » !

« Pour toi public ! » comme dit Franck Dubosc ; nous sommes en train de travailler pour t’offrir une suite. Donc, à suivre… 

Une petite indication ? Le titre : Morgenspat va au charbon ou Morgenspat a mauvaise mine ou Dans le fond, Morgenspat, etc. On ne sait pas encore. On termine d’abord le texte ; le titre suivra.

Bonne lecture. 

22 et 23 février 2019

Par ailleurs, Patrick et moi, le "Tandem Littéraire", nous serons au Centre Leclerc de Saint Louis le vendredi 22 et samedi 23 février. Vous pouvez venir... chercher la suite. Qui sait, elle y sera. Il parait que le ministre de l'intérieur veut que les enquêtes soient menées rapidement. Alors, le capitaine Morgenspat qui sait faire, s'affaire aux affaires ! 

En image l'affiche. 

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S'adapter pour évoluer

Écrire à deux, n’est pas une évidence. Ce n’est pas non plus un exercice de style. C’est plutôt des renoncements. 

Écrire en tandem, c’est accepter beaucoup d’idées du coauteur et même le valoriser. C’est accepter de changer sa façon d’écrire pour en prendre une autre. C’est se battre pour faire accepter ses idées. C’est chercher d’autres solutions jusqu’à ce que l’histoire plaise aux deux auteurs mais, surtout, aux lecteurs. 

Le livre qui exprime le mieux cette façon de procéder, c’est « Le Cas Nonnenbruch ». 

D’ailleurs, ce livre, contrairement à « L’Autre Face est Morte…Elle » qui laisse deviner qui a écrit quoi, ce livre est un compromis des deux styles. Les deux auteurs ont réussi à fusionner dans le fond et la forme... et pour le plaisir des lecteurs.

Même le format est différent puisque, alors que les deux premiers sont en 15x21, il se présente en format poche 11x17 ; plus facile à transporter, à lire partout.On peut le mettre dans sa poche ou dans son sac à main et le lire quand et où on veut. 

C'est cela s'adapter. S'adapter à l'autre auteur mais aussi s'adapter aux lecteurs. A partir du 3ème livre, on commence à reconnaitre ceux qui viennent l'acheter et à tenir compte de leurs remarques aussi. 

En fin de compte, en plus de l’histoire qu’il propose au lecteur, chaque livre a une histoire personnelle et, quand vous l’avez en main, pensez-y, vous verrez celle qui est à l’intérieur n’en sera que plus belle. 

Bonne lecture.   

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Pourquoi, pour qui, comment

jaune polar à Illfurth 2018

Ecrire, c’est bien, ça permet à l’esprit de prendre un bain, de se décrasser, de jeter au loin toutes les pensées négatives et, de transformer tous ces cauchemars qui hantent en des aventures utiles. 

C’est pourquoi nous écrivons, parce que nous avons des projets, des aventures, des désirs… Et, nous les mettons sur du papier histoire de faire rêver quelqu’un d’autre. Nous permettons à quelques lecteurs éventuels de voyager, de rêver, de s’instruire, etc.

Et, une fois les livres faits, il faut les proposer au lecteur ; lui aussi a le droit de rêver. 

Alors, nous allons dans les salons du livre afin de leur proposer nos songes et inventions. Rencontrer le lecteur aussi est important ; c’est un rituel où le lecteur côtoie la réalité qui lui permet des mondes autres.  

Que ce soit de la poésie (rime), du roman de type polar (prose) ou du théâtre (dialogues), on se doit de proposer la lecture à tout individu, voire la leur apporter. Ainsi que l’écriture, d’ailleurs ; ce que je fais dans les Ateliers d’Ecriture. Et vous serez toujours les bienvenus. 

En image : une coupure d’un quotidien local (L’Alsace) sur le Salon des Auteurs Régionaux qui s’est tenu à Illfurth le 07 octobre 2018 ; les auteurs de Polars à l’Est sont cités en bonne place. 

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